Et pendant ce temps, ailleurs sur la toile…
Sites cools :
- Foutraque Garage
- El Solitario
- Un pneu dans la tombe
- Virage8
- The Moto Lady
- The self centered man
- Smoke and Throttle
- Geordie Biker
- Flesh and Relics
- Old School Engineering
- Pipeburn
- Blitz Motorcycle
- Head Bolt Motorcycle
Ducati :
- www.planete-ducati.com
- www.ducatannonces.com
-
régler correctement ses amortisseurs -
démonter l’embrayage à sec d’un desmodue -
démonter un embrayage à sec desmodue
(dès fois que le premier lien ne vous aie pas aidé !)
Triumph auto :
Triumph moto :
- www.motos-anglaises.com
- tutos vidéo par Lunmad
Divers :
Petites annonces :
- www.leboncoin.fr et ses variantes européennes :
- www.tutti.ch (Suisse)
- fr.kapaza.be (Belgique)
- www.subito.it (Italie)
- www.segundamano.es (Espagne)
- www.custojusto.pt (Portugal)
- www.craiglist.org (équivalent américain)
- Ebay.co.uk
24/02/2021 Cherry Red Tank
– What do you get if you cross a 500cc Triumph Twin engine with a Greeves frame? A Grumph. Like some character from a Maurice Sendak story; it may make an adventure out of a jaunt in the woods.
23/02/2021 The Shropshire Star
Anyone for a game of footie?
By Toby Neal published June 2, 2020
“Top flight football is tiptoeing its way to a comeback as the nation eases its way out of the coronavirus restrictions. But if you want social distancing, at least by the length of the front forks, motorcycle footer has its health and safety attractions.
And another thing, Wolverhampton was rather good at it.
To get a flavour of what it was all about, let’s turn back the clock to April 1928, when the sport – then only around four years old – made its first appearance in the Newport district, with a motorcycle football match held at Lilleshall Hall between Wolverhampton and Coventry & Warwick.
Coventry & Warwick had never been beaten, and had won the Auto Cycle Union All England Cup for three years on the trot, as well as numerous other events.
Wolverhampton were rated as one of the most improved teams in the country, a young and skilful side who had been runners up in the ACU Cup in 1927.
Now, the rules.
“The game is played with six players a side, with only the goalkeeper and fullback keeping their positions. The remaining four players are intent on forcing the football through their opponents’ goal,” explained the Newport and Market Drayton Advertiser’s report of this crunch match.
“The skill with which the players control the ball while travelling at speed is truly remarkable. It is by no means a slow game. On the contrary, it is amazingly fast, and the skilled riders must at times have reached 40 miles an hour. The players not only used their feet, but also their heads when occasion demanded.”
In the first half Wolverhampton were the better team and deserved to go into the break 2-0 up. After the interval Coventry & Warwick pulled one back, and but for two fine saves by Barnard in the Wolverhampton goal would surely have gone in front.
Wolverhampton increased their lead, only for their opponents to pull one back a few minutes later.
The glorious final score: Wolverhampton 3, Coventry & Warwick 2. The invincible Coventry & Warwick had at last been toppled.
A few years ago we spoke to June Hussey of Wombourne, whose father Tommy Deadman helped pioneer the sport in Wolverhampton.
He founded Wolverhampton Motor Cycle Football Club – presumably the same side which played that match at Lilleshall – which played home games in Pinfold Lane, Penn.
The sport captured the public’s imagination, albeit for a fleeting time, and led to teams being set up across the country and the creation of a league.
With Tommy as captain, the Wolves team enjoyed a successful year in 1928, winning the Midland League Championship by beating Birmingham and competing in a nationwide competition equivalent to the FA Cup.
Wolves beat local rivals West Bromwich 10-1 in the first round and in the second round beat a team known as Douglas MC. Wolves got all the way to the final but lost to Coventry.
Born and bred in Wolverhampton, Tommy Deadman had already made quite a name for himself in the world of motorcycling, having taken part in the first ever dirt track racing at Wolverhampton’s Monmore Green Stadium in August 1928.
Motorcycle football was popular for a number of years but seems to have faded away around the time of the war, although the idea of playing football on a motorbike has popped up from time to time since.
Virage8
22/02/2021 Les Routes Galloises, du 31 Mars au 6 Avril 2022
Grande nouveauté dans notre programme d’activités, ce voyage de 8 jours/7 nuits au Pays de Galles sur les Routes Mythiques de nos amis britanniques, Andrea et Steven P. Un voyage de 1000 km sur les Routes Galloises dont la saveur toute britannique assureront des souvenirs mémorables à celles et ceux qui viendront vivre cette première. Cerise sur le gâteau, en partenariat avec la Morgan Motors Company dont nous visiterons l’usine à Malvern, nous pourrons louer des Morgan Plus Four et des Morgan Three Wheeler pour faire ce voyage de la manière la plus British qui soit.
Ce voyage de 8 jours / 7 nuits nous conduira pendant 1000 km sur les plus belles Routes Galloises, des routes réputées pour leurs courbes et leurs paysages magnifiques, des routes faiblement fréquentées, les routes préférées des magazines automobiles britanniques pour réaliser leurs essais des dernières nouveautés.
Ouvert aux autos de caractère quel que soit leur âge pour autant que leur état permette un voyage sans encombre, vous pouvez faire ce voyage avec l’auto de votre choix ou en louant une Morgan Plus Four ou un Morgan Three Wheeler depuis l’usine de la Morgan Motors Company. Comme toujours chez Virage8, nous n’avons aucune discrimination quant au choix de son véhicule. Pilotes et passagers devront en revanche maitriser leur conduite et apporter leur lot de bonne humeur et d’attitude positive.
Notre groupe de 5 autos maximum sera emmené sous la conduite de nos amis britannique et d’un membre de l’équipe Virage8. Nous roulerons en itinérance, chacun à son rythme, lent, moyen ou rapide, en fonction de ses préférences, nous nous regrouperons au fil de la route pour partager nos impressions.
Le point de rendez-vous est fixé à Malvern (Royaume Uni), jeudi 31 Mars 2022 en fin de matinée.
Programme
Jeudi 31 Mars, après avoir récupéré les voitures à l’usine Morgan pour celles et ceux qui auront choisi l’option de la location, nous prendrons la route panoramique vers Devils Bridge. Le parcours permettra aux conductrices et conducteurs de se familiariser avec leur Morgan à conduite à droite. Après une pause et la visite des antiquaires à Leominster, nous emprunterons la route de montagne de Rhayader à Devils Bridge. Cet itinéraire traverse la magnifique vallée d’Elan et la retenue d’eau avant de traverser la lande en direction d’Aberystwyth. Hébergement et dîner à Aberystwyth.
Vendredi 1er Avril, direction Betws-Y-Coed à travers une campagne magnifique dans le parc national de Snowdonia, une région d’une beauté exceptionnelle. Nous voyageons sur des routes désertes, des itinéraires souvent utilisés lors du Wales Rally GB. Nous admirerons le magnifique lac Vyrnwy avant de nous arrêter à Bala pour le déjeuner. L’après-midi nous emmènera dans le célèbre Triangle EVO, itinéraire d’essai de voitures par le magazine EVO que nous pourrons faire dans chaque direction si le temps le permet. Il nous restera alors une courte distance jusqu’à la ville victorienne de Betws-Y-Coed dont le nom gallois est traduit en anglais par « maison de prière dans le bois ». Hébergement en hôtel 4 étoiles et dîner à Betws-Y-Coed.
Samedi 2 Avril, empruntant la célèbre route A5 depuis Betws-Y-Coed autour du mont Snowden, la plus haute montagne du Pays de Galles, nous nous dirigerons vers le célèbre village de Portmerion, où fut tournée la célèbre Série TV « The Prisoner » où nous déjeunerons. Nous prendrons ensuite la route vers le village de Beddgelert et la vallée jusqu’à Caernarfon où nous visiterons le château et la région, en admirant la vue sur Anglesey. Avant de retourner à Betws-Y-Coed, nous prendrons le pont sur le détroit de Menai jusqu’à Ynys Mon avant une petite pause à Beaumaris, le temps d’explorer cette ville balnéaire médiévale. Hébergement en hôtel 4 étoiles et dîner à Betws-Y-Coed.
Dimanche 3 Avril, en quittant Betws-Y-Coed tôt le matin, nous traversons Blaenau Ffestiniog où se trouve l’une des plus grandes carrières d’ardoises galloises. Sur de superbes routes, nous nous dirigerons vers l’ancienne ville de Dolgellau pour le déjeuner via Bala. Dans l’après-midi, les routes panoramiques traversent Machynleth, Newton et Llandridnod Wells avant d’arriver à Brecon, dans les Brecon Beacons. Hébergementen hôtel 4 étoiles et dîner à Brecon.
Lundi 4 Avril, en quittant Brecon, nous emprunterons une route isolée et pittoresque vers Lampeter puis vers Llandovery pour une pause dans un célèbre café de motards. Nous traverserons les montagnes noires en nous arrêtant à Dan Yr Ogof, le National Show Caves Centre for Wales et en nous arrêtant à proximité pour le déjeuner. Nous continuons à travers les Brecon Beacons, en passant devant la montagne Pen-Y-Fan et en direction de Penderyn pour une visite de la distillerie de whisky Penderyn. Après la visite, nous emprunterons la route principale « Heads of the Valleys » en direction d’Abergavenny et du Celtic Manor Resort Hotel and Spa. Cet hôtel possède trois parcours de championnat de classe mondiale, une académie de golf, un practice éclairé et deux clubs de golf luxueux. Hébergement et dîner au Celtic Manor Resort Hotel and Spa (5 étoiles) à Newport.
Mardi 5 Avril, journée de détente, une partie de golf, l’exploration indépendante ou en petits groupes, spa, chacune et chacun occupera cette journée à sa guise. Les clubs de golf peuvent être loués, nous aurons besoin de savoir lorsque vous effectuez votre réservation pour ce voyage si vous souhaitez réserver ces clubs car la disponibilité est limitée. L’hôtel Celtic Manor dispose d’un spa, d’une salle de sport, d’une piscine et d’un espace de détente de première classe. Hébergement et dîner au Celtic Manor Resort Hotel and Spa (5 étoiles) à Newport.
Mercredi 6 Avril, pour notre dernière journée complète de conduite sur les Routes Galloises, nous nous dirigerons vers l’abbaye de Tintern pour explorer les célèbres ruines. L’abbaye cistercienne de Tintern est l’une des plus grandes ruines monastiques du Pays de Galles, la seconde fondation cistercienne en Grande-Bretagne. En chemin, nous ferons un détour par Abergavenny, une ville de marché, pour visiter d’un petit vignoble gallois et y déguster les meilleurs vins du coin – vous pourriez être agréablement surpris ! Après le déjeuner, nous prendrons notre temps pour retourner à Malvern en savourant ces derniers instants dans les Morgan. Hébergement en hôtel 4 étoiles et dîner de clôture à Malvern.
Jeudi 7 Avril, nous rendrons les voitures Morgan à l’usine de Malvern que nous visiterons pour voir comment elles sont fabriquées. Il sera possible de rencontrer les dirigeants de la Morgan Motors Company, de passer du temps dans le nouveau centre d’accueil et de passer peut-être la commande de votre propre Morgan sur mesure !
Conditions de participation : Parfait état de marche de votre véhicule, un véhicule en mauvais état pourra être refusé, permis de conduire et assurance valides, attitude positive, ouverture d’esprit, bonne humeur des pilotes et passagers.
Être membre de l’Association Les Amis de Virage8. La cotisation annuelle de 50€ est déduite de votre participation au premier voyage réservé.
Pour devenir membre de notre Association : https://www.weezevent.com/association-les-amis-de-virage8. Dès votre adhésion confirmée, nous vous indiquerons comment réserver pour ce voyage.
Kilométrage : 1000 km (Malvern-Malvern)
Météo : Les conditions météo sont très souvent belles au début du printemps avec des ciels dégagés et du soleil toute la journée. Comme sur tout le territoire britannique, la pluie pourra nous surprendre de temps à autre. Les températures sont fraiches le matin et en soirée. Prévoir des vêtements chauds et des capotes opérationnelles pour les cabriolets en cas de pluie.
Participation :
Pilote: 2960€
Passager: 1140€
La participation comprend :
– L’organisation
– 7 nuits en hôtels de catégorie 4 et 5 étoiles
– 7 petits-déjeuners
– 7 dîners aux étapes
– Plaque numéro, autocollants et goodies
– L’équipe d’encadrement
Ne sont pas compris :
– Les déjeuners
– Les boissons
– Les extras et dépenses personnelles
– Le carburant et tout ce qui n’est pas spécifiquement indiqué dans ce qui est compris
Option :
Location d’une Morgan Plus Four ou d’une Morgan Three Wheeler: 1290€
Date limite de réservation : 31 Janvier 2022
Pour initier votre réservation : https://www.weezevent.com/association-les-amis-de-virage8
Conditions de remboursement en cas d’annulation :
30 jours et plus avant la date de départ du voyage : 100%
Entre 14 jours et 29 jours avant la date de départ du voyage : 50%
13 jours et moins avant la date de départ du voyage : pas de remboursement
Toute annulation doit être notifiée par email (contact@virage8.com) impérativement
Conditions sanitaires : En cas d’annulation ou de report du fait des règles sanitaires applicables aux dates prévues, nous nous rapprocherons des participants inscrits pour procéder à leur choix au remboursement ou à l’inscription aux nouvelles dates.
Renseignements : contact@virage8.com
Attention : Nombre de places limité à 5 autos
Enjoy your Ride, Enjoy your Life, ça va être géant !
Crédit photos: Andrea et Steven P, Virage8 et divers
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Virage8
22/02/2021 Début de semaine
Retour aux affaires après un week-end ensoleillé sur tout le pays. Un petit air de printemps quelques cinq semaines avant son arrivée que nous fêterons comme il se doit avec notre Spring Ride le 21 Mars 2021. Quoiqu’il en soit, nous espérons que vous avez profité au maximum de ces quelques jours de printemps en plein hiver qui, bonne nouvelle, devraient perdurer toute la semaine.
Excellent début de semaine à toutes et à tous !
Photo : Triumph 750 Wasp par Atelier Chatokhine
Cet article fut rédigé et publié pour la première fois sur Virage8 le 22 Février 2021
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22/02/2021 Sunday Night Blues
.. so we need to look at the fun times ahead as spring emerges from the snow and ice surrounding us.
21/02/2021 Shangri-La
– the gravel road hugging the rugged Spiti Valley in the north of India where is touches the Himalaya. Boy; to be wheelin’ along this dirt road!
20/02/2021 Khakis
Sky Pilot of the First Unreformed Church of the Lunatic Fringe
– aka Deadlock. Mystical member of the ABC Warriors; is the Grand Wizard of the Knights Martial, an order of robot mystics of unknown origin who are worshippers of the god Khaos, the embodiment of chaos.
Virage8
19/02/2021 L’automobile et les années 50
Objet de toutes les convoitises, dans les années 50, l’automobile est un but pour bien des Français, elle est synonyme de la liberté de déplacement, d’un statut social en progression et justifie un certain nombre de sacrifices pour y accéder.
La 4 chevaux Renault, symbole d’une industrie automobile Française renaissant après la WW II, est le fantasme de nombre de familles. Avec elle il est enfin possible de s’évader des grandes agglomérations et de profiter d’un pique-nique entre amis…. juste au bord de la route !
La photo s’intitule « vacances aux Sables d’Olonnes ». A cette époque, il était encore possible de planter sa tente sur une dune sans rien demander à personne et de profiter de joies simples, le soleil, le grand air, 4 chaises et une table pliante, sans oublier le transistor à pile, sans doute un Pathé Marconi, tout cela ayant trouvée place dans le coffre avant et le surplus sur la « galerie » de toit de la vaillante 4 CV. Notez les branchages protégeant les pneus des rayons du soleil afin d’éviter qu’ils soient craquelés !
Robert Doisneau lui-même n’hésitait pas à faire intervenir l’automobile dans ses photos comme dans cette scénette avec la mannequin Simone Bicheron. On ne sait si cette photo doit être dédiée à l’étourderie féminine ou à la dangerosité des portières à ouverture « suicide » !
Tous n’avaient pas encore les moyens de posséder une des merveilles automobiles de l’après-guerre et beaucoup s’ingéniaient à faire durer une auto des années 30 comme cette Nova ou Monaquatre Renault. Il faudra attendre les milieu des 60′ pour voir disparaître de nos rues ces autos réservées aux plus modestes ou aux plus bricoleurs avant qu’elles ne réapparaissent, mais » de collection » dans les 70′.
Certes les Station Services n’étaient pas encore les épiceries/restaurant qu’elles sont devenues. Il y avait encore un pompiste, en uniforme s’il vous plaît, qui assurait un service, pare-brise, niveau d’huile et bien entendu celui de l’eau que les autos de cette époque perdaient régulièrement. Il faudra attendre la Renault 4L en 1961 pour bénéficier du vase d’expansion et du circuit fermé qui dédouanera de cette surveillance constante. Quant à la Peugeot 203, elle est un grand succès de la firme de Sochaux, robuste et performante, elle est l’apanage des classes moyennes.
Aah, la 403 Peugeot ! Quel succès, son aspect cossu dont on murmure que le carrossier Italien Pininfarina y aurait mis sa patte, la désigne directement pour les notaires, médecins, voyageurs de commerce et, en noir, pour les fonctionnaires des nombreuses administrations dont ceux de la préfecture de police ! Et puis elle a hérité de la robustesse de la 203 avec quelques chevaux supplémentaires bienvenus pour rejoindre la campagne proche pour le week-end !
1955, Citroën crée l’automobile moderne ! la DS 19 (plutôt une ID 19 sur la photo) amène tellement de choses que le monde l’automobile en a le tournis ! Sa suspension hydraulique, mais aussi la boîte de vitesse semi-automatique, les freins à disques et un design futuriste qui tranche avec les Tractions Avant précédentes qui commençaient à sérieusement dater ! Parfaite? Non bien sûr, avant de devenir une légende, de nombreuses pannes vont demander de la patience à la clientèle et … aux concessionnaires ! Reste le moteur hérité de la Traction, bien lymphatique, mais son aérodynamique lui autorise une belle vitesse de pointe de 145 kmh. Elle va devenir la coqueluche des commerçants et des entrepreneurs aisés ainsi que le char de l’état pour de nombreuses années.
Crédits photos Robert Doisneau, Keystone, D.R.
Ce texte a été rédigé par Alain Berson et publié pour le première fois sur Virage8 le 19 Février 2021
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19/02/2021 Sharpie Sketch
Orange is the New Black
– as part of my sketch a day I rattled off a quick pen drawing of the Bonnie’s engine.
Virage8
18/02/2021 God save the Triple: la nouvelle Triumph Speed Triple 1200 RS
Depuis 1994 plus de 100 000 Triumph Speed Triple ont parcouru le monde. Avec, tout d’abord, la 900 cc bientôt suivie de la 955 cc avec ses deux phares qui établissent sa silhouette. Puis, en 2005, la 1 050cc et, en 2011, l’abandon des deux phares ronds pour un double regard en élytre. Pour 2021, après la Trident 660 déjà promise à un beau succès, Triumph présente une nouvelle version de sa Speed Triple, la 1200 RS. Dans les faits ce n’est pas une simple évolution mais bien une nouvelle moto.
Les principales évolution de la Speed Triple depuis le premier modèle de 1994
Moteur de 1 160 cc
Tout d’abord le moteur. Il passe à 1 160 cc par une augmentation de son alésage qui passe de 79 à 90 mm et sa course qui, elle, diminue en passant de 71.4 à 60.8 mm ce qui renforce le coté super carré, permet une chambre de combustion plus vaste donc des soupapes plus grosses et une augmentation des hauts régimes moteurs. Associée à un rapport volumétrique élevé de 13.2:1, la puissance fait un bond de 30 ch. (!) et passe à 180 ch. au coquet régime de 10 750 tr/min. 8 Nm de couple sont également gagnés à 125 Nm mais au régime élevé de 9 000 tr/min.
La boîte de vitesses, toujours à 6 rapports, est aussi nouvelle. Elle est plus compacte, plus légère et on nous la promet plus souple. L’embrayage, quant à lui, est assisté et aussi bien l’admission que l’échappement sont nouveaux avec une recherche sur les harmoniques qui nous promet un son des plus agréables. De plus 7 kg ont été gagnés sur le moteur.
Une partie cycle de sportive.
Tant pis pour les moins de 1 m 75, la hauteur de selle culmine à 830 mm ce qui est beaucoup mais qui, associée à des repose-pieds placés comme sur une sportive, va permettre de déplacer le poids du corps sur l’avant. Un guidon plus large de 13 mm pas trop haut aidera à contrôler le caractère affirmé de la bête sans pour autant être un obstacle au déhanchement nécessaire au pilotage sportif. Le cadre, la partie arrière et le beau bras oscillant sont entièrement en aluminium et pour les suspensions si Triumph n’a pas (encore) adopté les suspensions pilotées électroniquement, c’est du beau matériel qui a été choisi avec, à l’avant, une fourche Öhlins NIX inversée entièrement réglable avec des tubes de 43 mm de diamètre et, pour l’arrière, provenant du même fabricant, un amortisseur TTX 36 lui aussi entièrement réglable.
Celui qui saura s’y retrouver dans les nombreuses possibilités de réglages offerts par les éléments Ölhins haut de gamme qui équipent la 1200 RS sera certain d’avoir un amortissement optimum
Coté freinage là aussi que du beau avec, à l’avant, deux disques flottants de 320 mm pincés par des étriers Brembo Stylema à 4 pistons, la référence du moment, et, à l’arrière, un disque de 220 mm à 2 pistons. A noter également que les nouvelles roues en 17′ sont chaussées d’origine avec des pneus Metzeler Racetec RR et que celui de l’arrière en 190/55 doit permettre de belle sensation en accélération sur l’angle ! Enfin avec 1 445 mm d’empattement, un angle de colonne de direction très fermé de 23.9° un peu modéré par une chasse au sol de 104.7 mm, la moto promet d’être très vive dans les enchainements !
Les étriers de frein Brembo Stylema représentent ce qui se fait de mieux en ce moment !
Et l’électronique embarquée dans tout cela ?
Si Triumph est un peu en dessous de Ducati et BMW en matière d’informatique embarquée, la nouvelle Speed Triple 1200 RS fait un bond en avant en matière d’équipements. A commencer par le système Keyless qui commande aussi le bouchon de réservoir (la version classique est toujours possible), la commande d’accélérateur « Ride by Wire » qui autorise un régulateur de vitesse, un shifter « Up and Down », une centrale inertielle 6 axes nécessaire pour faire fonctionner de manière optimale l’ABS Continental MIB_ EVO qui, tout comme le contrôle de traction, adapte son intrusion en fonction de l’angle de la moto ainsi que l’anti-wheeling. 5 modes de conduite sont disponibles : Rain qui limite la puissance à 100 ch., Road, Sport, Track pour les amateurs de circuits et le mode Rider qui est personnalisable.
La Speed Triple 1200 RS est équipée de feux entièrement à LEDs et d’un tableau de bord TFT de 5′ dans un support courbé afin de réduire les effets de l’éblouissement dû au soleil, une attention dont bien d’autres pourraient s’inspirer, tout comme les boutons des commodos rétro-éclairés bien pratiques lors de la conduite de nuit. Enfin le tableau de bord est connecté Bluetooth et le système Triumph Connectivity permet l’utilisation d’une Go Pro et d’un Smartphone.
Un Roadster qui répond aux attentes des sportifs
La Triumph Speed Triple 1200 RS intègre ce mouvement des Roadster très puissants qui se dessine depuis quelques années et qui tend à remplacer les hyper-sportives carénées bien moins polyvalentes. En effet, pratiquement sans protection, les Roadsters découragent rapidement leurs utilisateurs d’effectuer de longs trajets à des vitesses très élevées. Par contre le bras de levier plus important de leurs plus grands guidons les rend plus agréables en conduite sportive sur petites routes sinueuses ainsi qu’en trajets urbains. Avec des puissances très élevées, des roues permettant la monte de pneus adaptés à la piste, ils ne craignent plus d’affronter les « Track Days » sur piste.
Dans le cas de la Triumph, les options saute-vent, poignées chauffantes, indicateur de pression des pneus et la bagagerie adaptée, permettent également d’en faire une honnête routière. Certes, bien que fabriquée dans l’usine Triumph de Thaïlande, à 17 500 € la 1200 RS n’est pas donnée mais elle demeure concurrentielle face aux autres roadsters européens puissants et sportifs comme la Ducati Streetfighter V4, la KTM SuperDuke, l’Aprilia Tuono 1 100 V4 et la BMW S 1000 R.
Crédit photo : Triumph Motorcycles
Ce article a été rédigé par Alain Berson et publié pour la première fois sur Virage8 le 18 Février 2021
L’article God save the Triple: la nouvelle Triumph Speed Triple 1200 RS est apparu en premier sur Virage8.
18/02/2021 Grandpa rides pillion
– neat old image of a proud Triumph Mountain Tiger Cub owner, Orville, taking his grandfather for a spin.
Virage8
17/02/2021 Mercredi
Mercredi, jour des enfants. De celles qui découvrent cet engin passionnant et les codes qui vont bien avec. Rouler à moto nécessite un certain caractère pour affronter risques météorologiques et physiques. Une force de caractère qui permettra quand l’âge adulte sera venu d’être différente, de rencontrer des personnes aux caractères également affirmés, de faire des rides et des road trips seule ou avec des compagnes et compagnons de route, et de ressentir ces émotions fortes que cet engin passionnant mais néanmoins surprenant distille à qui veut bien aller les chercher.
Crédit photo inconnu (DR)
Cet article fut rédigé et publié pour la première fois sur Virage8 le 17 Février 2021
16/02/2021 Luxton Laughs
– Classic 70’s sitcom On The Buses sees one time ‘clippie’ Olive Rudge and her aloof husband George take a fully loaded combination to some seaside destination. George was the center of much derision from main ne’er do well characters, Stan and Jack, due to the decrepit appearance on the BSA.
BSA W35-8 Bluestar (1935)
13/02/2021 Winter Sled
– tucked in a corner behind a neighboring apartment building stands this older GS500 under a blanket of snow. I nearly bought one of these in London back in the nineties but ended up with the Kawasaki GPZ500.
13/02/2021 Got2Go
RTW Tiger
– moto traveller Lea Rieck gets her gas tank refilled somewhere up the Karakoram. Her sturdy Tiger clocked 90k km on her circumnavigation.
Virage8
12/02/2021 La Route Napoléon, du 19 au 26 Juin 2021
Pour fêter l’arrivée de l’été 2021, nous vous proposons ce voyage de 2200 km au départ de Paris exclusivement réservé aux motos de caractère sur la Route Napoléon par les routes Nationale 6 à l’aller et Nationale 7 au retour. Une grande boucle de 8 jours/7 nuits qui nous emmènera sur ce que ces routes françaises ont de plus mythiques.
Pari est pris d’entamer notre capital de départ sur celle qui a si longtemps porté le numéro 6 dans le classement de nos routes nationales. Des rondeurs du Morvan au pré-Alpes du nord en passant par la route des grands crus, nous voyageront au fil de ses bornes kilométriques jusqu’à Chambéry où nous bicornerons vers la Route Napoléon.
Du mythe à la légende, par la Route Napoléon, nous basculerons sur la Côte d’Azur, point de jonction avec l’extrémité de route qui porte le numéro 7. Sous le soleil nous entamerons la douce remontée à travers les milles nuances de l’Esterel avant de prendre le Verdon à la gorge et de plonger dans les Maures.
Nous emprunterons les routes enchanteresses du Luberon pour rejoindre le géant de Provence d’où nous traverserons les merveilles de la Drôme Provençale avant de retrouver la Route Nationale 7 et de remonter la Vallée du Rhône.
Nous délaisserons la route des vacances dans une de ses portions les plus urbaines, le temps d’une escapade par l’Ardèche et le Pilat avant de la retrouver à sa conjonction avec la Loire. Nous en suivrons les rives changeantes jusqu’au pont canal de Briare pour ensuite rejoindre la Capitale et ainsi boucler notre grande boucle aux portes de Paris.
Bonne humeur et positive attitude seront de rigueur au sein de notre groupe emmené par deux membres de l’équipe Virage8. Notre grande boucle d’environ 2200 kms est ouverte à 8 motos maximum dont la seule condition est de garantir de bonnes conditions de voyage à ses équipages et au groupe tout au long de cette belle échappée.
Le point de rendez-vous est fixé à l’Obélisque de Fontainebleau, samedi 19 Juin 2021 en début de matinée. Un pré-départ depuis Paris pourra être organisé pour celles et ceux qui souhaitent rouler de concert jusqu’à Fontainebleau.
Programme
Samedi 19 Juin, départ pour une journée de remise en jante avec la traversée des vallons de la Bourgogne et du Beaujolais pour rejoindre notre première halte dans le mâconnais et lieu de notre première nuitée.
Dimanche 20 Juin, c’est au bord de l’Abyme, en plein cœur des vignobles du mâconnais que nous prendrons le départ en direction de la Bresse puis du Bugey pour rejoindre les grands lacs situés au pied du massif des Bauges avant de traverser le massif de la Chartreuse jusqu’au contreforts du Vercors d’où nous entamerons la Route Napoléon jusqu’au Sillon de Gap point d’arrivée de cette seconde halte.
Lundi 21 Juin, cette troisième journée sera toute napoléonienne enchainant les vallées de la Duranne, de la Bléone et la vallée de l’Asse qui nous conduira de la Clue de Charbières à celle de Taulanne avant d’emprunter le col des Leques et de redescendre sur Castellane. De là nous emprunterons le col de Luens avant de tomber dans le ravin de la Buissière et de prendre le « Pas de la Fage » afin de profiter du magnifique panorama la vallée des parfums avant de rejoindre le Pays de Lerins pour notre troisième halte.
Mardi 22 Juin, jour de jonction avec la RN7 par laquelle du Cap Azur nous rejoindrons la Corniche d’Or qui serpente le long de la Méditerranée avant de traverser le massif de l’Esterel pour rejoindre le lac de Saint Gassien. Par-delà le col de Saint Arnoux et le Vallon de Duech nous traverserons les oliveraies de la perle du Haut Var avant de basculer sur les gorges du Verdon. Du lac de la Sainte Croix nous prendrons en directions de la côte varoise pour atteindre le paisible village dans le ciel de Provence où nous séjournerons pour deux nuits.
Mercredi 23 Juin, une cinquième journée en trèfle avec une ambiance de Maures ou de farniente selon les envies de chacun(e) entamera la seconde partie de notre voyage. Après avoir rejoint la plaine des Maures, les sinueuseries commenceront par le ravin de Nartassin avant de rejoindre le panorama plantourain sur le Golfe de Saint-Tropez. Entre vallons et chênes lièges, nous sillonnerons les routes pittoresques du massif des Maures dont nous ne quitterons les magnifiques paysages que pour rejoindre notre point de séjour par l’Abbaye du Thoronet et les eaux turquoise de Sillans la Cascade.
Jeudi 24 Juin, pour cette sixième étape, nous nous éloignerons des Gorges du Verdon en empruntant le parc naturel du Luberon jusqu’au pied du géant de Provence. Des Gorges de la Nesque cap sera mis sur les champs d’oliviers de l’est des Baronnies et les lavandes de la Drôme Provençale et cela jusqu’au le lieu de notre halte.
Vendredi 25 Juin, après le petit déjeuner nous rejoindrons la RN7 en Vallée du Rhône pour une remontée vers ces bons souvenirs réveillés au croisé des vestiges publicitaires et architecturaux qui jalonnent encore la mythique route des vacances. A hauteur d’Andance, nous emprunterons le magnifique pont suspendu à destination des merveilleuses routes du parc naturel du Pilat. Au sommet du col de la République, nous basculerons dans la vallée du Furan que nous suivrons jusqu’à la Loire avant de retrouver la RN7 et de rallier notre dernière halte au cœur de l’Allier.
Samedi 26 Juin, toutes les bonnes choses ayant une fin, c’est ensemble que nous reprenons la route de notre huitième et ultime journée au sein d’un groupe qui s’effilochera au fur et à mesure que chacun(e) bifurquera vers son lieu de vie, le cœur chargé de tous ces souvenirs qu’elle ou il pourra passionnément partager dès son arrivée.
Conditions de participation : Parfait état de marche de votre véhicule, un véhicule en mauvais état pourra être refusé, permis de conduire et assurance valides, attitude positive, ouverture d’esprit, bonne humeur des pilotes et passagers.
Être membre de l’Association Les Amis de Virage8. La cotisation annuelle de 50€ est déduite de votre participation au premier voyage réservé.
Pour devenir membre de notre Association : https://www.weezevent.com/association-les-amis-de-virage8. Dès votre adhésion confirmée, nous vous indiquerons comment réserver pour ce voyage.
Kilométrage : 2200 km (Paris-Paris)
Météo : Les conditions météo sont très souvent belles en ce début d’été avec des ciels dégagés et du soleil toute la journée. Les températures peuvent être fraiches le matin et en soirée. Prévoir des vêtements chauds et des protections de pluie.
Participation :
Pilote : 2390€
Passager : 790€
La participation comprend :
– L’organisation du voyage
– 7 nuits en hôtels de catégorie 3 et 4 étoiles
– 7 petits-déjeuners
– 7 dîners
– Plaque numéro, autocollants et goodies
– L’équipe d’encadrement pendant toute la durée du voyage (8 jours)
Ne sont pas compris :
– Les déjeuners
– Les boissons
– Les extras et dépenses personnelles
– Le carburant et tout ce qui n’est pas spécifiquement indiqué dans ce qui est compris
Date limite de réservation : 30 Avril 2021
Pour initier votre réservation : https://www.weezevent.com/association-les-amis-de-virage8
Conditions de remboursement en cas d’annulation :
30 jours et plus avant la date de départ du voyage : 100%
Entre 14 jours et 29 jours avant la date de départ du voyage : 50%
13 jours et moins avant la date de départ du voyage : pas de remboursement
Toute annulation doit être notifiée par email (contact@virage8.com) impérativement
Conditions sanitaires : En cas d’annulation ou de report du fait des règles sanitaires applicables aux dates prévues, nous nous rapprocherons des participants inscrits pour procéder à leur choix au remboursement ou à l’inscription aux nouvelles dates.
Renseignements : contact@virage8.com
Attention : Nombre de places limité à 8 motos
Enjoy your Ride, Enjoy your Life, ça va être géant !
Crédit photos : Virage8 et divers (DR)
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Virage8
11/02/2021 Indian Chief 2022
Pour les 100 ans de la Chief, Indian Motorcycle réinvente le modèle et le décline en trois versions dans sa nouvelle gamme Indian Chief.
Une esthétique minimaliste et des performances résolument modernes, les trois nouveaux modèles de l’emblématique Indian Chief n’en oublient pas leurs origines.
Dévoilée pour la première fois en 1921 par la marque, l’Indian Chief s’impose rapidement comme un modèle emblématique qui marquera à jamais l’histoire de la marque. Un siècle plus tard, le tout premier constructeur de motos américain dévoile trois réinterprétations exclusives de son modèle phare. Associant le célèbre style V-twin à l’américaine, des performances et technologies à la pointe de la modernité, Indian Motorcycle a misé sur une esthétique épurée qui laisse place à la mécanique, en hommage à l’âge d’or de la moto.
Toutes basées sur un cadre tubulaire en acier et animées par le puissant moteur Thunderstroke 116 (1890cc), les nouvelles Indian Chief Dark Horse, Indian Chief Bobber Dark Horse et Indian Super Chief Limited proposent chacune leur interprétation exclusive du modèle.
La nouvelle Chief Dark Horse ouvre le bal. Elle remet au goût du jour l’esprit des bicylindres en V américains : peu importe la destination, tant que l’on roule — et en bonne compagnie.
À sa suite, on retrouve la nouvelle et impétueuse Chief Bobber Dark Horse. Avec ses larges pneus montés sur des jantes à rayons, sa tête de fourche imposante et sa selle solo style bobber, la Chief Bobber Dark Horse met à l’honneur le style classique des V-twins d’après-guerre.
Enfin, la Super Chief Limited ferme la marche, tout en élégance : pourvue de sacoches et d’un pare-brise, cette version plus polyvalente de la Chief invite le pilote pour de longues balades où seul le voyage compte.
Une nouvelle gamme de motos emblématiques au sein de la gamme déjà bien fournie du constructeur américain que nous avons hâte d’essayer plus vous en dire plus.
Crédit photos et vidéos Indian Motorcycle
Cet article fut rédigé et publié pour la première fois sur Virage8 le 11 Février 2021
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Virage8
10/02/2021 Mercredi
Mercredi, jour des enfants. Mercredi de Graziella aujourd’hui, qui se souvient comme nombres d’entre nous, de ces départs en vacances en auto. Des trajets entre Belgique et Italie sur des routes encombrées, avec les picnics préparés par Maman et pris dans un de ces chemins en bord de route, ou encore les jeux entre soeurs et frères sur la banquette arrière pour tuer le temps, de ces longues heures passées pour arriver à destination en fin de journée, enfin !
Picnic en famille en route vers l’Italie
Avec Aldo, son père, Julia, sa mère et Sergio son petit frère, Graziella était une de ces enfants heureuses à la simple idée de partir en vacances pour retrouver la famille de son père à Mestre (Venise) en Italie. Un périple agréable dans l’Alfa Romeo familiale, une Giulia Sprint 1300 de 1962, bien calés sur la banquette arrière uniquement accessible en abaissant les dossiers des sièges avant.
De ces moments de joie qui créent des souvenirs durables et la passion des voyages pour toute une vie.
Resté longtemps dans la famille, le sympathique coupé Alfa Romeo finit par la quitter au détour de l’achat de la suivante, cette auto laissa cependant de nombreuses anecdotes comme un retour de fête de famille où Aldo et son cousin s’étaient laissés aller au point où Julia dû prendre le volant pour rentrer de Vérone à Mestre avec nos deux compères endormis sur la banquette arrière. Ou encore cette fois où Sergio qui attendait sagement dans la voiture, alors que ses parents étaient passés dire le bonjour à d’autres cousins, fut ‘secouru’ par la police locale où ses parents le retrouvèrent au commissariat en train de manger des bonbons.
De bons souvenirs, l’enfance, les vacances dans l’Italie de la Dolce Vita, de Cinema Paradisio et des Alfa Romeo qui devinrent quelques dizaines d’années plus tard, très recherchées.
Lors des départs en vacances, la galerie était de rigueur pour emporter toues les affaires
Un grand merci à Graziella pour nous avoir envoyé ces photos, et si vous aussi souhaitez partager vos souvenirs de voyages, d’autos, de motos, vos anecdotes, n’hésitez pas à nous envoyer des photos et un texte, nous nous ferons un plaisir à les publier.
Crédit photos Graziella Z.
Cet article fut rédigé et publié pour la première fois sur Virage8 le 10 Février 2021
Virage8
09/02/2021 Le Cap Nord à moto, le voyage ultime
Le Cap Nord à moto, c’est le voyage ultime pour ceux qui envisagent la pratique de moto par les voyages. De ces voyages dont ces grands voyageurs rêvent toute une vie et réalisent à un moment clé de leurs vies. Ces moments où l’alignement des planètes est optimal.
Ces trois amis grecs de longue date n’ont pas hésité quand leurs planètes furent alignées. Ils achetèrent les motos qui leur semblaient les plus adaptées à ce voyage, se préparèrent et prirent la route depuis leurs provinces de Grèce vers le point le plus septentrional de l’Europe. Un voyage, une expédition, que dis-je, un Cap, une péninsule …
Et comme un bonheur ne vient jamais seul, ils décidèrent de se faire accompagner par un cinéaste de talent qui ramena ce film de plus de 50 minutes. Alors, seat back, relax and enjoy this 50’37 movie! Et un conseil, dès que vos planètes seront alignées, n’hésitez pas longtemps avant de déclencher votre boite à rêves et vous préparer à ce voyage ultime
Crédit vidéo Honda Roadtrips
Cet article fut rédigé et publié pour la première fois sur Virage8 le 9 Février 2021
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Moss Motoring
01/02/2021 KIDS’ ART ON A CART – Better Than a Barn Find!
By Leo Kob
Our 1959 Austin Healey Bugeye Sprite’s maiden voyage last October was with the Philadelphia Chapter of the Austin Healey Sports & Touring Club’s (AHSTC) frostbite tour. During a long COVID-safe picnic at Sailor’s Point (on the north side of Lake Galena in Peace Valley Park, Bucks County, PA) we relayed this luv-puppy’s evolution:
I’ve owned Austin Healeys for over 40 years. All until now have been 1962 3000 cc tri-carb models. At the AHSTC events, we began warming up to the little Bugeye (Frogeye on the other side of the pond) Sprites as their numbers increased (almost exponentially), but there were too many projects in our queue to seriously consider another.
As the years rolled on, we started discussing colors and where to store if the right one appeared. At the annual 2014 AHSTC event held in Paradise, PA ground zero is a Hospitality room open from noon until 5PM daily. On this occasion, a fellow clubber who owns an LBC service shop in Moorestown, NJ announced he received a cold call the week before from a gentleman who was offering up his Bugeye due to age/health and wanted to sell it this week. I knew the club’s president was in the market for one, so I quickly asked about the condition it was in.
“It belonged to his wife before they were married, taken off the road in 1968, then partially disassembled and stored in his heated basement. Second to his wife, the man fell in love with restoring mahogany boats. So, the car sat in his basement for over 40 years! All original, complete, and essentially rust free…. but everything is in boxes!” He summarized saying that he would have taken it but space and time to restore were at a premium: business was just too good at the time.
So, I figured I had about 15 minutes to get a thumbs up from my better half before the club president arrived. Ironically, two recent events turned on a mental light bulb.
- We had been sorting out our seven kids’ secondary and high school memorabilia, much of which comprised doodles, sculpture, photos, art class projects, and some writings at home for several months
- A delivery of pedestrian wayfinding signs for a construction project at work by the printer in a small colorful van wrapped in vinyl a week or so earlier. The company’s owner was more than anxious to explain the process, and noted it is removable without damaging a quality paint job.
So, there was my hook: I suggested to Marty we restore this apparent time capsule, and wrap it in our kids’ art rather than have it stuffed in boxes in the attic, and reminded her our pres. would be coming into the Hospitality suite shorty. Already having downed a couple glasses of gratis wine helped my cause.
There was a five-minute or so pause before getting her thumbs up, and I was ready to pull the trigger. I asked Pete for a delivered price to our home and wrote the check.
Upon delivery a couple of weeks later, I inventoried all the parts (only a couple of items missing), and dragged the rolling chassis to a buddy’s barn in Lancaster County where we have restored cars for years. Pete was spot on about the sheet metal. We only replaced the right front quarter panel and patched in heavier gage floor boards to add rigidity. These little puppies were a collection of compound curves that trapped water from bow to stern, thus making this dent-less, rust-free one too perfect to believe. Only took a day to have it ready for media blasting.
In the meantime, we asked our kids what background color should be used. That took a while! I naively thought at the time the wrap’s background was transparent. We ended with my painter’s recommendation: Ford’s generic white (same paint code for over 50 years).
So, now we had to work our way through the wrapping process. Luckily an artist friend of ours also has a graphic arts business. Marty & I sorted through all our kids’ stuff, and pulled out several dozen candidates, and photographed the pottery. Off went all of this for high-resolution scanning (not cheap).
I had a vision of pasting everything all over the body. George (artist) observed the car will look like a leopard with small-pox beyond ten feet. So, a lot of money was poured in scanning. I turned over the decision-making to George and Marty: less quantity, larger images. We insured all seven kids were represented.
Meanwhile, I made a shipping paper/masking tape profile of the car’s one side, and took all kinds of measurements so George could set up the digital language for the company who actually creates and installs the wrap.
A month or so later, I dragged the rolling chassis to the “wrapper” (ASI) in Pennsauken, NJ, armed with a memory stick containing George’s digital program. ASI does funny cars and customs, as well as serving their bread-and-butter commercial fleet clients.
To my amazement, it was done in a week, with no fit-up problems or distortion. I promised to have it photographed for promotional use when fit-out of the interior and drivetrain was complete.
Another trip with the U-Haul dolly, and our little rolling art cart settled into the tool shed, awaiting completion of my ’67 XKE coupe restoration. By dumb luck, the wrap’s white background matched the Ford’s paint, so underside of bonnet and boot blended nicely.
In the meantime, I grabbed a Datsun 5-speed transmission at an AHSTC flea market, a 59 HP 1275cc block off eBay (the original was only 948cc, 43 HP), and a later MG front disk brake system from an LBC parts hoarder in upstate NJ.
Work resumed in late 2018. The engine and tranny were rebuilt by my long-time mentor, John Davies, who was over 80 at the time. A native Brit, he has been pulling spanners for 50 years. He literally finished the “bloody twit” on his death bed a year ago. It still needed the distributor and final timing when cancer forced him to close his shop. Being John, he ordered his son and a friend to carry the block into his living room where he finished it, reaching out from his rental hospital bed. A final victory for the Union Jack!
A couple of weeks later (Thanksgiving weekend) I was helping his family “de-leaf” the yard and button things up for winter when he climbed his stairway to heaven.
Last summer an auction of his shop’s tools & inventory was held. I was able to buy the bright red MAC Tools timing light and dwell/tach test set we used together to fire up all my LBCs over the years. You don’t find guys like him anymore!
The engine fired right up after our club’s tech team slipped it into the engine bay.
Note: When installing the lights and trim on the bonnet, we noticed some peeling of the wrap around the headlight “bulges” and lower edges. The shop in Pennsauken advised that sunlight exposure is important to maintaining the wrap’s adhesion. Seems counter-intuitive, but I admitted it had been in covered storage for about two years after initial installation. I loaded the bonnet into a pickup truck, and they re-wrapped it overnight. Luckily, George still had the digital file.
What a difference in handling compared to the Big Healeys. Both cars were designed by Gerry Coker. He and his wife have attended numerous AHSTC annual “Encounters” over the years, offering many funny anecdotes about the development of both cars. He said Donald Healey, wanting to meet a certain price point to make his cars the choice of American GIs stationed in Europe after the Big War, kept shaving off many of Gerry’s favorite touches such as retracting headlights and a trunk lid on the Frogeye, eliminating the fold-down windscreen on the Big Healeys after a couple of years, etc.
There is an interesting tie between Healey and Jaguar – Jaguar North America’s president Mike Dale’s (when under Ford’s umbrella) first job after leaving the RAF was with the Donald Healey Motor Company’s home dealership. He quickly became a terror on the SCCA circuit, garnering the 1973 national championship in H-production class piloting a Series 1 Sprite. These little demons were challenged only by Abarth Fiat for over 15 years in this SCCA class. His competition Sprite was recently unearthed in the Midwest, an incredible barn find. Apparently Mike did not keep his racecars, preferring to retain a significant collection of WWII vintage planes to play with after retirement.
As co-chair of AHSTC’s 2015 annual meet in Gettysburg, Marty and I had the honor to dine with the Dales and Cokers, who were the event’s awards banquet guest speakers. That week remains one of our most memorable auto events. The ladies even got Gerry to don a dress for an afternoon fashion show and tea earlier in the week while Marty played the harp. Sadly, Gerry passed away on last November at the “sprite” age of 98.
Next step is to get a hood for our luv muffin and start a preservation on another deceased friend’s 1966 XKE roadster we acquired in 2017. Very nervous about pulling this off!
The gang at Moss were with us all this time, as our three Austin Healeys were subjected to nut-and-bolt restorations under their rebuilder’s program. I did our ’67 coupe under the XK Unlimited program, and am repeating with them (now Moss Classic Jaguar) for my ‘66’s preservation.
Oh yes, after 150 miles driving our art cart, no issues. Time to replace the run-in oil…
Motor On!!!
Moss Motoring
18/01/2021 The Joy of Discovery
By Robert Guinness
The Moss Motoring Challenge has been a joy for many—and not just for the participants. Over the past eight years I have ventured out into the back roads of America looking for the unusual, the beautiful, and forgotten history as my take on the Challenge. As I traveled in my MGA through towns whose population often dipped below three figures, I was struck by how many people stopped what they were doing to look up and stare at the strange and rare vehicle motoring past them. Each time I would notice them, I received what is the true prize of the Moss Motoring Challenge: their wide-eyed smiles with the spark of nostalgia and joy.
These folks would never have seen an MGA in the wild if not for the Motoring Challenge. And in exchange, they shared with me their treasures: astounding folk art, known as “road side oddities” to outsiders; obscure history, and pride of place just waiting to be discovered. Without the Challenge, I would never have seen the coffee mug tree outside of Yale, Illinois; nor the Hula Hoop Tree outside of Amber, Iowa; nor the twilight zone gas station in Clarence, Missouri. More importantly, I would never have spoken to the people who constructed these wonders and discovered the rich stories behind them. For example, if you drove by, you would be struck at the sheer weirdness of a huge dead tree covered with thousands of colorful hula hoops. But if you stopped in an MGA to admire it, the locals who stopped to look at the car would tell you that some of the hula hoops were thrown into the tree to honor those who survived, or succumbed, to cancer. You would also learn that an anonymous artist leaves painted rocks for visitors to take home. I can imagine someone saddened by illness looking down and seeing these beautiful tokens of love, and taking that love with them when they left.
Interstates are evil thieves of the soul. Back roads offer unending epiphanies. Winding through the mountains of West Virginia, stopping in small towns, or cruising along the flats of the Mississippi River bottoms heading to the next Challenge point is glorious. The Challenge keeps you vigilant for “targets of opportunity” to score unplanned points. Simply by looking where you would never have looked before, you discover wonderful vistas and interesting details. Aged mansions and vacant town squares; vibrant local festivals, and wonderful local food. Have you ever attended the annual “Testicle Festival” in Olean, MO? Perhaps you simply haven’t looked. But while looking for these unexpected treats, I have experienced some inner epiphanies as well. Traveling at dawn with no one else on a road through lush farmland and hills while listening to the hum of the engine and tunes from my youth, I have had time to reflect on what is important in my life and the life of my community. It truly is “zen” and the best therapy one can imagine. You do not experience these things at car shows (although I love the comradery of shows). You experience these things when you drive, especially when you drive outside of familiar places and longer distances. As one of my favorite musicians sings, “It’s no matter. No distance. It’s the ride.”
It has also nudged my son to serve as navigator on some long trips. Some Challenge excursions present challenges other than gathering points. These cars do breakdown – often in the most remote part of the trip. Ask my son why he refuses to go in my car without a knife hidden in his boot, or why the words “Hickman Kentucky” sends shivers down his spine. Buy me a beer, and I will tell you the tale of New Years Eve in the mountains of Tennessee. But each of these adventures have left me with wonderful stories to tell. It has also made me into quite a McGyver of roadside repairs.
A 1960 MGA and a 1956 human body have their limitations. There are corners of North America I can’t visit too easily. That’s where the Moss Motoring Challenge Facebook Group comes in. If you haven’t scrolled through those Facebook pages you have really missed a wealth of creativity, laughs, and photos of exquisite cars and beautiful scenery. This virtual community is yet another one of the unexpected benefits of the Challenge. It allows you to travel across North America through the eyes of the other Challenge enthusiasts—from the Canadian Maritime Provinces to sunny L.A, in modern Miatas and vintage TR3s, and joyous selfies and picturesque landscapes. When work gets too stressful, just scrolling through the Facebook Group entries and seeing other folks enjoying their cars and their own adventures, brings a smile to my face. I will never listen to the song “Roundabout” by Yes without picturing Matthew Maguire hopping into his splendid Miata. When I compose my own photos and Facebook entries, I try to create something that takes the viewer out of the ordinary or brighten the worst moment of their day.
I and all those who participated in the Challenge are very thankful for Moss’ generosity in creating the Challenge. Moss has sponsored it for eight years. 2020 was the last year for the Challenge, and the pandemic made it harder to stray far from home. But more gems and adventures lay before those who take up their own personal motoring challenge. Perhaps one more road trip to see the pit where the “man who shot the man who shot Lincoln” went to live out the remainder of his life in insanity, or the World’s largest Ball of Twine in Cawker City, Kansas, so you can spend the night in a reconverted 1920s gas station. And who knows what you will find on the way, or who you will make smile—or who will make you smile. Thanks Moss for the gift of adventure and the joy of discovery. And thanks for keeping our cars on the road! MM
Moss Motoring
18/01/2021 Reviving a Storybook Hero
By Jeremiah Lancaster
I’m having a hard time remembering details of that dark period of time when our MG family did not have an MG. But I remember clearly how it ended. I remember commenting how Whidbey Island, Washington, would be the perfect place to own an MGB. Nice roads, good weather, and you were never too far away that you couldn’t push the thing home if you had to. My father and I both had MGBs at young ages, as well as the stories of having the lack of funds to keep them up to spec. It wasn’t long after my comment that a little B without an engine appeared in the garage, and my father started building the MGB he always wanted. As the current caretaker of that car, years later, I can honestly say he built something special. But that’s a story for another time. Today we’re talking about The Red Car.
There are two types of car enthusiast, according to Peter Egan of Road & Track magazine: those who have never heard of “The Red Car,” and those who read it at a young age and had their lives ruined by it.
My father’s TC, HTF-933, started out as a black police car in Lancashire, England. It was delivered after rolling off the line in 1947. They’ve confirmed it in their roster. However, detailed records of its exploits were lost to the ages.
It was retired by the police in the mid fifties, to a private owner who drove it sporadically into the sixties. At some point it was painted red. The police accessories were removed and separated from the car. A tow hitch was added. Around this time the TC jumped continents, wound up in New Jersey, and was painted white. In the early ’70s the car was dismantled for restoration. As it has happened so many times, the rebuild never occurred, and the car was packed into crates. The car in dismantled form changed hands multiple times over the next 40 years. Amazingly enough, it stayed fairly complete. It eventually wound up in New York, where my father discovered it advertised for sale in 2011.
My dad has had MGs his whole life, and hooked both of his sons on them in the process. He’s never shown his cars or talked about them, so when he expressed interest in me writing up the TC’s story and submitting it, I had to give it a shot. He had by now completed several MGBs and MGAs. He had restored a TD of his own years before, and started looking for another, or better yet, a TC. HTF-933, while rough, dismantled, and across the country, was too interesting to pass on.
He negotiated the deal from Washington State, and sent me from Pennsylvania, to pick up the car. I confirmed the motor turned over by hand, as advertised, then loaded it into the back of my Jeep Cherokee. Interior panels, crates of hardware, and precious items went in around the motor. The frame went on the roof, and the body tub, wheels, wings, and axles went into a small rented trailer. It was quite the sight, to be sure. For me that was a fun winter, having a full size TC model kit to mock up in my garage and basement. It was agony for my father, however, having to wait for my daily update of pictures. I photographed and cataloged every bit that came with the car, so he could assess what he had and what he was missing. He started hoarding parts back in Washington. When the mountain passes cleared we met in Yellowstone for a camping trip and to transfer the bits of car into his pickup.
Over the next six months of evenings and weekends the TC was reborn.
He began with the body tub. The original frame was dry-rotted, however in the boxes was a nearly complete Ash wood frame kit. Using West System epoxy and marine hardware the frame was assembled and the original bodywork reinstalled, after being taken to bare metal and refinished. The original dash was usable only as a template, however he sourced a beautiful piece of Koa to replace it. Most of the original gauges and switches were present, and restorable.
The front wings and rear fenders were stripped, from white paint, to red, to the original black underneath. All four were in poor shape, the rears reduced to a lattice of rust when the paint was removed. Replacements were holding up the project, so the originals were restored with epoxy and cloth. Not a long-term solution, but a step closer to getting the car on the road where it belonged. Once the momentum on a project of this scope is broken, it can be hard or impossible to regain. Since the restoration, better condition original rear fenders have been sourced and are waiting in the rafters for paint and install. The rest of the body was amazingly complete, considering the car’s history. All of the steel panels were taken to bare metal, rust proofed and coated with epoxy primer before painting. When it came time to pick a color, he was very tempted to return the car to black as when it was new. That may still happen. For the time being it is proper “Red Car” red.
When the bodywork reached a good stopping point, the chassis was prepared. The frame was already bare for the most part, but it was sanded down, rust-treated, then coated copiously with black chassis paint. The rear axle was complete, but when it was opened the pinion and ring gear were missing teeth, and the axle shafts were stripped. Several donor axles were purchased and torn down, however all were in the same or worse condition. Eventually a new old stock pinion was located and installed. Axles were eventually sourced and fitted. A new wiring harness was installed, along with new hydraulics, using a lot of the original fittings. Coker tires were fitted to the original wire wheels after cleaning and truing.
The biggest surprise of the restoration occurred when the engine was opened up to rebuild. No wonder it turned over so freely, the pistons and connecting rods were gone! And the biggest hurdle: the crankshaft was now a two-piece unit! A complete spare motor was located, and a single motor came together out of the two. Amazingly, five months after the car arrived in his garage, Dad fired up the motor for the first time.
The pile of parts came with most of the original red leather interior, however the years of storage had not been kind to any of it. The original top was far beyond use, but the frame was restorable. The seat and door panels all served as good patterns for replacements. Some comedian in the car’s past had installed an ejection seat warning plaque on the dash. That was cleaned up and added to the Koa dash.
As parts began coming back from the chrome shop to be installed, the rolling chassis very quickly became an assembled car. I flew out to visit not long after, and took my turn driving the TC around the yard. It took a couple more months of fine-tuning before seeing regular road use, but it became a regular driver as soon as possible. I have to say with pride and amazement that this work was completed in my dad’s spare time. He had a full-time 8-5 job working at a boat yard, but would come home every night to the little TC. It’s astonishing to think about how much was achieved in such a short time period.
In the five years that have passed since the restoration, Dad and the TC have relocated to Arizona. They get out a least once a week for a morning drive. Never intended as a show car, nevertheless it never fails to turn heads. No visit to see dad is complete without a ride in the TC. As time allows around his other car projects, he hopes to improve the bodywork with better panels, and potentially returning the car to black. And, I happen to know that somewhere in his workshop he has a supercharger tucked away for it. MM
Moss Motoring
18/01/2021 Yes. In This Car. Part III
By Roy Locock
So far, if you’re just now joining my MG Midget journey, I’ve traveled from Oxford, England, across Europe, through Iran, Pakistan and from the Himalayas to the south of India. Then, completing a 12,000 mile circuit of Australia, I drove “Bridget the Midget” across Argentina into Chile and up to the Peru Border.
Crossing the border into Peru was fairly painless, taking only about an hour and a half, and most of that time was queuing. We made our way to Nazca from where I intended to turn right and go down to Cusco and Machu Picchu. However, torrential rains left the roads in a dreadful condition and having driven 40 miles at no more than 20mph, I decided it would be reckless to push Bridget to continue. The distance to Machu Picchu was only 250 miles each way but I don’t think that Bridget would have survived. We returned to Nazca, I parked Bridget in the hotel car park, and caught an overnight bus to Cusco.
The journey was indeed a nightmare even in a modern Marcopolo coach, and the potholes and loose rocks scattered across the road meant the journey took almost ten hours. I found a hotel and grabbed a few hours sleep, which had been impossible in the bus. The journey was worth the discomfort. I took the local train to Machu Picchu and was awestruck by the ancient creation by the Inca people.
On my return to Nazca I collected Bridget and took her to a local garage. The exhaust pipe had taken a hard knock during the aborted run and had broken a weld joint. I had it re-attached and a small hole repaired. Then we re-joined the Pan American Highway heading north towards Lima and the next frontier. I decided not to stop in Lima but to press on towards Ecuador, which was still two days away. The Pan American Highway however goes through the city so I wouldn’t miss it altogether, and more to the point I would not avoid the traffic. I positioned myself in the center lane of the highway whenever I could, making it as easy as possible to move left or right. Undertaking as well as overtaking is quite normal in South America,
and so I had vehicles moving and jostling on both sides of Bridget. We were just entering an underpass when suddenly a wheel careered out from underneath a taxi and crossed the road immediately in front of me. I was watching the wheel and trying to decide where it would go and at what speed I should travel to avoid it without swerving into the path of another vehicle. I was also trying to anticipate what other drivers would do when they noticed it. Anyway I managed to avoid hitting it or anybody else and as far as I could see it did not cause an accident. Little interludes like this keep me on my toes.
I crossed the border into Ecuador at Macara. It is a sleepy, dusty, little frontier post. So much so that it made me wonder if it was the official international frontier post, but it was. At least it meant
that there was not much waiting around, although the Ecuadorian immigration authorities were not at all sure what paperwork they needed to complete for the car. That evening I arrived in Catamayo.
For once, I was forced to plan ahead. I was approaching the Darien Gap, which is on the Columbian/Panama frontier and is inaccessible to motor vehicles. I decided to ship Bridget from Quayaquil in Ecuador to Panama City, and I would catch a flight.
The drive from Catamayo to Quayaquil took two days. Finding a shipping agent is time consuming, and so I spent several days in Quayaquil. The city is the main jumping-off point for tourists going to the Galapagos Islands. Traveling through Ecuador I found both straightforward and entertaining, with the roads generally in good condition but subject to being blocked by landslides. I was passing through shortly after the “landslide season” was officially over, but still encountered one total blockage forcing me to use a remote mountain pass as a diversion. The road was effectively a donkey track clinging to the mountainside, with a 1500-foot drop on one side and large cracks appearing on the other.
On arriving in Panama I went straight to the docks to collect Bridget. The immigration officials again took persuading. They wouldn’t permit a car to cross the border with the steering on the wrong side. It took the whole day to persuade them that Bridget could be allowed into Panama on a temporary import licence. As soon as that was settled we headed for the border into Costa Rica and stopped only once. The police were operating a mobile speed trap for vehicles driving south when they spied Bridget going in the opposite direction and waved me down. It was a blatant attempt to extract a bribe as they said I was travelling at 70mph. I refused to pay and they eventually issued me a ticket and said I would need to attend court and should not leave the country until then. They overlooked the fact I had no address in Panama, and so I left the country.
For the first time on this journey we were travelling without any maps working on the basis that I should be able to find the next country. The remaining journey through Costa Rica, Nicaragua, El Salvador, Honduras, Guatemala and Mexico was really quite uneventful. Unwittingly we short-circuited the Mexican exit system by just turning left over The Friendship Bridge at Nuevo Laredo instead of driving around their one-way system through customs, etc. It was only when the USA immigration official pointed out that I didn’t have an Exit stamp on my Mexican visa that I realized my mistake, but declined his kind offer of letting me return to ‘do it properly’.
Bridget and I spent the next two days in San Antonio trying to get American car insurance for a British registered, 1977 classic car, on temporary import, for an undetermined time.
I found driving in The States very straight-forward, particularly after navigating some of the Central American countries. I decided to head via Dallas to Las Vegas. I wanted to go to Vegas in the forlorn hope of persuading at least one of the casinos to make a good donation to the UNICEF charity that I was raising funds for. Not unsurprisingly, that activity was doomed.
From Vegas we struck out for San Francisco and the US 101 Highway north, heading for Canada. I decided we would take in Death Valley National Park on route which proved to be the warmest place I had been since the Gibson Desert in Australia.
San Francisco is packed full of characters doing their own thing, which I can identify with, so I spent two days people watching. Driving the US 101 I found relaxing with some great natural areas such as The Samuel H. Boardman National Park, Mount Humbug, Coos Bay, and of course the Giant Redwoods.
It was now mid-August and I wanted to ensure that Bridget and I left Canada by the end of September, because that is when it starts to get cold. Anything below 15°C is cold to me and I start to think about hibernation. We still had over five thousand miles to go and we could always come back another time.
Our last night in the USA was spent in Everett, Oregon, replacing a broken fuel pump and then we crossed into Vancouver, Canada on the 21st August. I was met at the frontier by Peter Tilbury from a local MG Car Club. Peter and his wife Anne very kindly acted as my hosts and guide around Vancouver. It is a beautiful location, but my love of nature had me straining at the leash to venture up into the Rockies.
Bridget and I drove north to Kelowna, a town that, so I was told, is home to many “old hippies.” I thought I would feel at home there, and it is a beautiful location. The whole area is full of rivers, lakes, pine covered mountains and settlements with charming names, such as Rock Creek and Kettle Valley. We spent the next couple of nights at Nelson, on the banks of the Lake Kootenay.
The wildlife in that area was wonderful. I spotted a one-horned moose in the River Moyie, some deer just off the highway, and became exited when I saw a road sign saying “Wolf on road. Stay in car.” No point staying in the car when there is no top, so I stopped and walked around the area with my camera. However, the wolf must have taken fright of the noisy little car and made off.
That night I stopped in Kimberley. I decided that I wanted to get some photographs of Black Bears and so the following morning took off on foot into the hills. I spent the whole day searching for bear, deer, wolves, or perhaps even a cougar, but all I found were mosquitos.
The following day we struck out for Calgary, joining Highway 93 and driving through The Kootenay National Park. The scenery was so beautiful we took over six hours to complete a four-hour journey. We were to spend three days in Calgary during which time I was entertained by the Calgary MG Car Club and visited the Calgary Highland Games. Clearly there have been a lot of Scottish immigrants to this area.
From Calgary we were to cross the great plains of central Canada. I had been warned that the drive would be boring because the terrain was so flat. Fortunately, I never get bored with driving even though the highlight of that particular part of the trip was seeing a train that I measured as being two miles long.
We headed through Winnipeg to Thunder Bay on the banks of Lake Superior. I referred to this area as Lakeland because of the hundreds, if not thousands, of lakes and occasional waterfalls such as Kakabeka Falls. The scenery was beautiful, but it was becoming cooler and some of the trees were starting to change the color of their leaves to red and gold.
We pressed on through The Pukaskwa National Park, North Bay and into Ottawa. I found Ottawa interesting both architecturally and culturally. The local MG Club turned out in force to meet me and exchange stories. They also advised me to explore Nova Scotia if I had the time.
Bridget had now been running faultlessly, even the carburettors were staying in tune. She was also returning around 34 mpg (imperial). Almost boring. We had completed over 38,000 road miles so far on this tour. I was quite pleased with her performance.
We pressed on to Montreal and then Quebec. Even though I am not a fan of cities, I rather liked Quebec. The culture and city center is very French, but there are a reasonable number of reminders of who was in charge in this country before independence.
We took the TC-20 Highway from Quebec on the final leg of the tour following the St Lawrence River. I wanted to head north to Gaspe as I had been told there were opportunities along the coast in that area to go whale watching. Fortune was with me and I managed to find a boat that took me out into Gaspe Bay to see dolphin, Minke and Fin Whales. I was blown away, almost literally as the offshore wind was gusting quite strongly.
Still riding that ‘high’ we made for Halifax where I would park Bridget in another 20-foot container for her return across the Atlantic to the UK.
We received a wonderful welcome home from the MG Car Club at their Kimber House headquarters. One of the national newspaper reporters whilst interviewing me asked “What are you going to do to follow this?” My, ill considered reply was, “Well I didn’t go into Africa, so maybe that should be next.” MM
The first two parts of Roy’s Moss Motoring trillogy can be read here.
A complete record of Bridget’s Round the World tour is available for e-readers such as Kindle by searching “Not In That Car” by Roy Locock.
We’re thrilled to hear that Roy isn’t finished adventuring just yet. He wrote to us last fall saying: “I trust and hope you are surviving the whole Covid thing in good health. Unfortunately, we still cannot travel freely here in Europe, but they cannot lockdown my mind! I have decided I shall resume my traveling in June, barring any new pandemics. I aim to drive Bridget across Europe, Kazakhstan, Mongolia, Russia and via ship across the water to explore Japan. I have not yet decided on a route home, it’ll depend on how many Yen I have left over!”
Keep in touch with Roy through his website. Encourage him to continue adding posts to his wonderful travel blog!